L’alopécie androgénique, c’est-à-dire la chute des cheveux, est une pathologie qui touche la plupart des hommes. Elle est due à un excès de production des hormones mâles, les androgènes. Certaines femmes sont également concernées, mais c’est plus rare. À partir de 40 ans, cela peut déboucher sur une calvitie plus ou moins importante. Que valent les solutions proposées pour la traiter ?
Des compléments capillaires
Les compléments capillaires sont généralement utilisés au début de la calvitie. Ils permettent de combler les zones clairsemées tout en préservant les cheveux restants. Aujourd’hui, les modèles sont fabriqués sur mesure pour obtenir des résultats très naturels. L’avantage de cette solution, c’est qu’elle est progressive et qu’elle est éligible au remboursement de l’assurance maladie. En effet, les compléments capillaires sont pris en charge jusqu’à 125 euros sous certaines conditions. En contactant les professionnels, ils vous expliqueront les démarches à suivre.
La poudre pour les cheveux
Généralement vendue sur les sites spécialisés dans le traitement de la calvitie, la poudre est idéale pour les personnes qui ont une chevelure clairsemée, sans pour autant être chauve. Elle est pulvérisée à l’aide d’un diffuseur à la base des cheveux puis elle est ensuite fixée à l’aide d’un spray. Instantanément, la chevelure a l’air plus dense. C’est une solution idéale au départ, mais il faut rapidement passer à une autre méthode quand la calvitie s’aggrave. Cette solution est plus adaptée aux personnes qui ont des cheveux foncés ou qui ont des cheveux blancs.
Les lotions et les shampoings
Ils sont conseillés pour les personnes qui remarquent les premiers symptômes de l’alopécie androgénique. Si vous avez beaucoup de pellicules, ou que vous constatez que vous perdez plus de cheveux que de raison, il est peut-être temps d’utiliser un shampoing spécial ou une lotion adaptée. Cela ne fera pas pousser vos cheveux, mais votre cuir chevelu et vos cheveux seront renforcés. C’est donc un moyen à utiliser à titre préventif plutôt qu’à titre curatif.